Prise en compte des cas d’intoxication aiguë notifiés aux centres antipoison et de toxicovigilance dans l’évaluation du bénéfice/risque du buflomédil

Auteurs

  • C. Pulce hospices civils de Lyon
  • P. Saviuc CHU Grenoble

DOI :

https://doi.org/10.1007/s13546-011-0297-4

Résumé

Le buflomédil a été commercialisé pour ses propriétés vasodilatatrices en 1976. Dès 1981, des cas isolés d’intoxication volontaire grave, voire mortelle ont été publiés. Très tôt, les centres antipoison (CAP) ont signalé ces cas graves. La structuration progressive de la toxicovigilance, ancrée alors essentiellement sur les données des centres antipoison et de toxicovigilance (CAPTV), a permis de proposer une succession de rapports (1997, 2005, 2008) justifiant d’alerter les autorités de santé. Les données collectées ont été déterminantes pour la prise de décisions de minimisation du risque. Celles issues des deux dernières études ont également contribué à l’évaluation des mesures préventives mises en oeuvre. Les étapes de la structuration progressive du réseau de toxicovigilance ont été mises en parallèle avec les différentes étapes de l’évaluation propre au buflomédil.

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Publiée

2011-07-08

Comment citer

Pulce, C., & Saviuc, P. (2011). Prise en compte des cas d’intoxication aiguë notifiés aux centres antipoison et de toxicovigilance dans l’évaluation du bénéfice/risque du buflomédil. Médecine Intensive Réanimation, 20(5), 442–445. https://doi.org/10.1007/s13546-011-0297-4

Numéro

Rubrique

Cas Clinique