Syndromes carentiels sévères

Auteurs

  • E. Maury Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • N. Bigé Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • M. Alves Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • A. Galbois Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • H. Ait-Oufella Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • J. -L. Baudel Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • G. Offenstadt Assistance publique-Hôpitaux de Paris
  • B. Guidet Assistance publique-Hôpitaux de Paris

DOI :

https://doi.org/10.1007/s13546-012-0627-x

Résumé

La prévalence des carences vitaminiques est probablement sous-estimée. Le rôle du réanimateur est donc de les reconnaître au cours des situations à risque. Cela est d’autant plus important que certaines carences peuvent être mortelles, comme le syndrome de Gayet-Wernicke (SGW), le shoshin béribéri et le scorbut, alors que leur évolution peut être rapidement favorable grâce à une supplémentation adaptée.

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Publiée

2012-12-07

Comment citer

Maury, E., Bigé, N., Alves, M., Galbois, A., Ait-Oufella, H., Baudel, J. .-L., Offenstadt, G., & Guidet, B. (2012). Syndromes carentiels sévères. Médecine Intensive Réanimation, 22(Suppl. 2), 417–427. https://doi.org/10.1007/s13546-012-0627-x

Numéro

Rubrique

Enseignement Supérieur En Réanimation

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